Galerie Anaphora Paris | Albert Woda
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Albert Woda

Né en 1955 à Nice.
D’origine polonaise, a vécu sa jeunesse à Nice ; formation à l’Ecole Nationale des Arts Décoratifs de Nice (actuelle Villa Arson). Vit et travaille dans les pyrénées orientales.
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Professeur de Gravure et de Dessin à partir de 2004, à Saint-Laurent-du-Var, puis à Perpignan.
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Peintre et graveur, crée les Editions de l’Eau en 1984 : livres d’artistes avec gravures à la manière noire ou à la pointe sèche sur des textes de :
– Tal Nizan (« Deux fois le même nuage », 2016)
– Zéno Bianu (« La vie de ton visage », 2006 ; « Just like a women », 2015)
– Tephen Romer (« Retour au Centrum », texte français-anglais, 2011)
– Luis Mizon (« Voyez comme je mens encore honteusement », Editions de Rivières, 2009)
« Les souvenirs d’une tour en flammes » (2011), « La plage sans nom » (2018)
– Laurine Rousselet (« Amaliamour », 2010)
– Salah Stétié (« Ouvrir », 2005, « La Grande Barque », 2009)
– Charles Greiveldinger-Winling (« Le Jardin des Roses » Ed. bilingue français-catalan, 2008)
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Aux Editions Alternatives : livres sur textes de :
– Jacques Lacarrière (« Contre-Nuits », Paris 2004)
– Franck Lalou (« Tes seins sont des grenades, pour en finir avec le Cantique des Cantiques », 2003)
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Illustrateur aux Editions Al Manar
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Participe régulièrement au Salon Page(s), Salon de Bibliophilie à Paris
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Expositions personnelles :
– Musée Paul Valéry à Sète (2016)
– Galerie Thérèse Roussel à Perpignan (2012)
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Expositions collectives à la Galerie Anaphora :
– 2016 : Petits formats pour Grands voeux 2016
– 2017 : Le Passage dans tous ses Etats (et participation au Portfolio III)
– 2017 : Petits formats pour Grands voeux 2017
– 2018 : Passage et Polyptyque
– 2018 : Petits formats pour Grands voeux 2018
– 2019 : D’un Passage à l’autre : continuités et ruptures
– 2019 : Petits formats pour Grands voeux 2019

 

« L’essentiel pour le peintre, fils en cela de l’immense Cézanne, est – une fois l’émotion accumulée dans son âme comme une nappe d’eau (Woda veut dire Eau en polonais) – de nettoyer ses pinceaux et ses godets, de nettoyer ses yeux aussi pour en faire des miroirs de clarté, de s’installer face à l’arbre, à la personne à portraiturer, au paysage déployé ; et plus tard, si besoin est, il reviendra à tous ces motifs par la médiation des photographies sincères qu’il en aura prudemment faites » écrit le poète Salah Stétié sur l’artiste.